Fin d'une journée banale [Albus]

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C’était un jour mortellement banal qui venait de s’écouler. Le morne ronronnement des paroles proféré par le enseignant tournait encore dans ma tête. Ce désagréable bourdonnement avait de quoi me rendre dingues, mais il fallait encore que je révises, demain était une lourde journée d’évaluation…
Je n’étais pas vraiment du genre asocial, mais j’aimais réviser seule… En tête à tête avec mes cours je n’étais pas tenté par la distraction. Sans réel enthousiasme j’avais cherché une salle vide.
En arpentant les couloirs je ne pus m’empêcher de penser que s’était ma dernière année ici… que les mois de cette année seraient les derniers que je vivrais entre ses murs.
L’année suivante ça serais les études supérieure, et surtout le retour chez les parents à temps complet. Cette idée me donna des frissons.
Je voyais déjà le topo… Ma mère critiquant allégrement tout ma vie, mon père faisant preuve d’un indifférence presque insultante a mon égard et ma sœur exhibant son bonheur parfait, mais complètement factice, avec son fiancer méticuleusement choisi par notre génitrice… C’était presque comique à entendre comme ça, d’ailleurs ça me fit sourire. Peut-être pas autant que quand je repensais à mes années dans l’école mais cela m’arracha un sourire quand même.

Bref ce n’était pas l’heure de penser ni au passer, ni a l’avenir lointain. Il fallait ce concentré uniquement sure le lendemain.
A force de persévérance je finis par trouver une salle de libre, un peu à l’écart des couloirs habituellement fréquentés par les élèves. Parfaite pour se plonger dans les ennuyeux méandres de la botanique, ou de l’arithmancie.
Étant complètement seule dans cette grande pièce je n’hésitais pas m’étaler sortant tout mes cours, et le mettant a mon aise, j’étais parti pour être là pendant un bout de temps, alors autant que cela soit le moins désagréable possible. Avec un soupire de résignation j’empoignais mon livre et mes feuille de botanique.

J’enchaînais les chapitres, et les matières avec une cadence régulière, en sept ans j’avais eu le temps de roder mon système de révision. J’ignorais exactement depuis combien de temps j’avais le nez dans mes livre, si ça ce trouve j’avais encore rater le dîner…
Une rapide coup d’œil à ma montre, et non j’avais encore un peu de temps devant moi. Je jetais un œil aux feuilles éparpillées un peu partout, je pouvais bien faire une pose.
Je regardait pas le fenêtre le temps gris et maussade de l'Écosse, puis plus bas dans le cour quelques élèves s’agitaient, des petits, sûrement des première années…
Je commençais en ressembler mes affaires quand j’entendis la porte s’ouvrir.

* Qui peut bien s'aventurer là? *

Encore une connerie à l’horizon, on la voyait arriver grosse comme un hippogriffe mais non, le concierge était encore trop occupé à engueuler Scorpius pour faire attention à ce qui arrivait derrière son dos. D’ailleurs Scorpius avait un mal fou à contenir le fou-rire qui lui montait à la gorge. Albus, tel une danseuse étoile avançait sur la pointe des pieds derrière le concierge en faisant lévité un énorme seau rempli d’une eau glacé. Rien qu’à y penser Albus en frissonnait d’avance, le concierge allait regretter de s’en prendre à Scorpius, il avait juste animer les armures pour qu’elle poursuive le concierge et voilà que cela faisait cinq bonnes minutes qu’il se faisait gueuler dessus. Un petit groupe d’élève s’était arrêter pour regarder la scène qui devait être des plus comique. Albus avançait à pas de loup, il essayait de faire le moins de bruit possible, dans cinq seconde il devrait filer à la vitesse de l’éclair et Scorpius aussi. Cinq. Albus se prépara mentalement. Quatre. Il leva sa baguette. Trois. Ses pieds accrochaient déjà le sol pour lui permettre de ne pas déraper. Deux. Ne pas rire. Un. Un sourire apparut sur les lèvres de Scorpius. MAINTENANT! Albus abaissa sa baguette et toute l’eau se déversa sur le concierge. Les deux chenapans prirent leurs jambes à leur cou en explosant de rire. C’était une retenue assurée, mais ils s’en fichait, il devait courir et surtout ne pas se faire rattraper par le concierge furibond. S’il avait put il aurait cracher du feu tellement il leur hurlait dessus. Evidemment le surveillant avait eut la superbe idée de poursuivre l’auteur de la faute impardonnable. Voilà Pourquoi Albus courait dans les couloirs, baguette à la main, explosé de rire, au bord de l’étouffement. Cela faisait dix bonnes minutes qu’il courait, il avait enfin réussit à semer le concierge dans les méandres des couloirs du château mais il devait se cacher et ne pas réapparaitre avant au moins une heure, c’Est-ce qu’ils avaient convenus Scorpius et Lui. Albus était à un étage ou il y avait rarement du monde. Parfait, il n’avait plus qu’à ouvrir une de ces portes et à se cacher pendant une longue heure. Qu’allait-il faire tout seul? Des pas approchaient et des jurons raisonnèrent jusqu’à lui. Il n’y avait pas de temps à perdre, il devait se cacher maintenant. Ouvrant une porte d’un coup sec il la referma juste derrière lui. Il était temps… Il s’adossa à la porte et vit qu’il n’était pas seul. Le reflex qu’il eut c’est de porter un doigt à ses lèvres en lui faisant signe de ne faire aucun bruit. Il n’avait pas encore fait gaffe à l’identité de la personne en face de lui. Il resta immobile guettant les pas du concierge qui s’estompaient au fur et à mesure qu’il s’éloignait. C’était bon, le danger était passé. Albus eut un long soupire de soulagement avant de retourner son attention vers la personne présente dans la pièce. Wilhemina Straford. Une serpentarde âgé de deux ans de plus que lui. Mais ils s’entendaient bien malgré les maisons et la différence d’âge. Albus eut un sourire amusé avant de lui adressé la parole.

« Que fait tu ici Hemi? »

Il avait prit la fâcheuse habitude de l’appelé par ce surnom, que ça plaise à la jeune femme ou non. Il s’avança vers elle en faisant attention à ne rien toucher. On ne savait pas ce qu'on pouvait trouver dans ces salles désafectées.

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La question avait été stupide, la seule personne qui pourrais s'aventurer ici s’était bien Albus Potter, et à voir sa tête il avait encore fait une bêtise plus grosse que lui et tout ces petits copains réunis….
Il était entré précipitamment, complètement essoufflé et a moitié effondré de rire, puis on avait entendu les râles disgracieux du concierge et enfin des pas dans les couloirs. Ce n’est quand le bruit se fut complètement estomper qu’il avait tourné la tête et réaliser que j’étais là.
Il m’adressa un sourire amuser puis déclara :

« Que fait tu ici Hemi? »

*Ah ton avis gros malin, je fais ce que tu devrais faire au lieu de malmener de concierge….*

Non je ne pouvais pas décemment lui répondre ça, surtout que ressemant j’avais eu des problème avec des membre de la bande a Potter ça aurais pu être assimiler a une déclaration de guerre…
De plus je n’avais jamais vraiment approuvé sa manie de m’appeler Hemi. J’avais l’habitude qu’on m’appel Wilhemina, a la rigueur Mina, ou encore simplement par mon nom de famille. Enfin s’était plutôt ceux qui ne m’aimais pas qui m’appelais Straford… et ça suivais souvent d’un échange assez… venimeux… puis un professeur arrivait, nous séparait, et la finalité dernière de l’histoire s’était une ou plusieurs heures de colles.
J’avais rarement voir jamais écoper d’une punition plus importantes que quelques heures de colles, je m’était toujours arranger pour que mon implications dans les histoire louche paraisse minime. Ah si il y avait eu une fois ou j’avais frôler l’exclusion temporaire, et s’était justement avec Potter que ça s’était produit… un sombre histoire qui avait plus où moins mal tourné pour nous deux.
Depuis ce n’était plus pareil, j’évitais de pactiser avec lui et quand je le faisait je m’arrangeait pour me protéger un maximum.
Malgré la différence d’âge et de maison nous nous entendions plutôt bien. Il avait de la suite dans les idées, enfin pas tout le temps….
Je lui adressait un regard las un brin moralisateur.

« Je révisais, demain j’ai une grosse journée de devoir…
Je suppose que t’as encore fait quelque chose au concierge pour qu’il peste dans les couloirs et que tu te réfugier dans la première pièce venue. Tu ne devrais pas le malmener ainsi »

J’avais jouer mon rôle de grande responsable je pouvais donc reprendre un peu plus ma vraie nature, je perdis donc mon regarde las et mes yeux prirent un lueur de malice.

« Vous lui avez fait quoi ? »

Demandais-je en refermant mon livre de métamorphose.

« Que fais-tu ici Hemi? »

Albus aimait beaucoup l’appeler par ce surnom, d’ailleurs elle ne semblait pas apprécier cela, c’était donc plus marrant de continuer sur cette lancée-ci. Mina ressemblait plus à un nom de chat qu’à un surnom pour une Serpentarde pensait Albus. D’ailleurs Emmy était un prénom normal et c’était bien plus court que Wilhemina. Alors peu importait son avis il l’appelait Hemi. Il resta à quelques mètre de la jeune femme quand même, n’oublions pas qu’elle était Serpentarde et que de plus, c’était grâce à sa malignité et au coté casse-cou d’Albus que la dernière fois ils s’étaient l’un l’autre sortit d’une mauvaise passe. D’ailleurs c’était depuis ce temps là qu’Albus l’appelait Hemi. Avant ça n’était qu’une serpentarde parmi d’autre. Il la regarda alors qu’elle esquissait un regard las, aller, elle allait encore lui faire la morale. Albus croisa ses bras sur son torse avant de l’écouter.

« Je révisais, demain j’ai une grosse journée de devoir… Je suppose que t’as encore fait quelque chose au concierge pour qu’il peste dans les couloirs et que tu te réfugier dans la première pièce venue. Tu ne devrais pas le malmener ainsi »

Elle révisait? Dans une salle désaffectée? Soit, Wilhemina était bizarre d’après Albus alors peut être cherchait-elle du calme? C’était raté pour cette fois-ci en tout cas. Il la regarda tandis qu’elle prononçait ça dernière phrase. Le malmener? Mais Albus se vengeait juste de toutes les heures de retenus écopées à cause de lui. Et puis évidemment ça avait dégénéré mais ça n’était pas de sa faute si le concierge mettait bien trop de temps à faire la morale. Il eut un sourire moqueur en revoyant le concierge trempé et jurant contre les deux garçons. C’était un spectacle très amusant à voir. D’ailleurs, Hemi devait surement vouloir savoir ce qu’ils avaient fait. Une lueur de malice parcourut les yeux de la jeune femme.

« Vous lui avez fait quoi ? »

Elle referma son livre de métamorphose et au souvenir de Scorpius ensorcelant les armures il eut l’horrible envie d’exploser de rire, un sourire malicieux se figea sur ses lèvres et il s’assit sur une table qui avait l’air en bon état comparé à certaine autre, celle-ci émit un léger grincement. Il s’immobilisa puis fixa la jeune femme avec une lueur d’espièglerie dans les yeux.

« Scorpius et moi on voulait se venger de toute les heures de retenues que nous avons enduré en entendant sa douce voix nous maugréer ordre après ordre. Alors Scorpius à ensorceler les armures pour qu’elle poursuive le concierge mais il est arrivé à ce moment là et à stopper le processus. Ensuite il a fait la morale à Scorpius dix longues minutes et pour que le supplice s’arrête enfin je lui ait jeter de l’eau glacée à la figure. »

Albus sourit fier de lui avant d’exploser de rire au souvenir des cheveux ruisselants du concierge et de ses yeux emplis de haine.

« Tu aurais vu sa tête! C’était vraiment à ne pas manquer! »

Il se essaya de calmer les secousses qui le parcourait à cause de son fou-rire mais il n’y parvint pas, la table émit un grincement strident et commença à s’écrouler, Albus sauta à temps pour ne pas avoir les fesses par terre. Puis il regarda la porte avec appréhension, le concierge était-il dans une autre aile du château à ce moment là où avait-il entendu le bruit?

« On ne devrait pas rester là je pense.. »

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Albus s’assit sur une table qui couina sous son poids … Comme s’était imprudent.
J’avais soigneusement choisie la mienne avant de m’installer, il est vraie que ces anciennes salles complètement désaffectée étaient bien pratiques quand on voulait réviser au clame…Quoi que on était jamais a l’abris d’un trouble fête et Potter en avait fait une mémorable démonstration… Toujours est-il que le matériel de ses pièces étaient souvent vétuste, voir dangereux. Sans compter que l’on n’était jamais vraiment sur d’être seul avec le nombre de petite bête plus ou moins recommandable qui traînaient dans le château.

« Scorpius et moi on voulait se venger de toute les heures de retenues que nous avons enduré en entendant sa douce voix nous maugréer ordre après ordre. Alors Scorpius à ensorceler les armures pour qu’elle poursuive le concierge mais il est arrivé à ce moment là et à stopper le processus. Ensuite il a fait la morale à Scorpius dix longues minutes et pour que le supplice s’arrête enfin je lui ait jeter de l’eau glacée à la figure.
« Tu aurais vu sa tête! C’était vraiment à ne pas manquer! »

Visiblement Potter se son acolyte de toujours avaient détremper le ronchon de service pour se venger… Cette idée me fit sourire, mais sûrement pas pour les mêmes raisons que celles qui provoquaient un incontrôlable fous rire chez mon interlocuteur. C’était plus un rictus sarcastique qu’un véritable sourire, quelque chose de parfaitement moqueur.

« On ne devrait pas rester là je pense.. »

« Je ne vois pas pourquoi on pourrait pas resté… Si il est aussi détremper que tu le dit il ne vas pas traîner longtemps dans les couloirs froid et humide de cette école, il vas aller vite se sécher en enfiler des vêtement sec. Nous avons tout notre temps.
Enfin j’avoue, que tu me déçois un peu Albus je te croyais plus diabolique que ça… seulement de l’eau, c’est un peu de l’amateurisme. Si tu veux que ça marche et qu’il y réfléchisse a deux fois avant de s’en prendre à toi il faut y aller doucement et méthodiquement.
Je suppose que tu te rappel de cette septième année de l’an dernier qui était venu me chercher des poux, une certaine Emily. Je présumer aussi que tu te rappel ce qui lui est arrivé. Au cas ou je vais te le rappeler, elle a fini couverte de pustules partout, absolument partout. La mystérieuse infection à durer deux mois avant qu’elle ne se rende compte que sa crème hydratante avait une curieuse odeur…
Mais qui donc avait bien pus mettre une potion de furonclose dans ses produits de beauté parfumée ? On se le demande toujours… »

Je m’était approcher de lui et en prononçant ma dernière phrase j’avais lever un sourcil provocateur. Bien entendu la mystérieuse mélangeuse de potion s’était moi, tout le monde le savait mais personne n’avait jamais pu le prouver.

Je rangeais mon dernier livre en attendant une réaction de la part de Potter quand mon chat entra… Toujours égale à lui-même la mini panthère cracha sur Albus et vint se frotter sur mes jambe.
Cette bête n’aimait que moi, uniquement moi, et cela faisait bientôt trois ans que cela durait, je n’avais jamais vu une telle dévotion chez un félin mais je n’avais pas quoi m’en plaindre.
Je prenais Epsilon dans mes bras pour le caresser et reporta mon attention sur Albus.

« On ne devrait pas rester là je pense.. »

Son instinct lui hurlait qu’il ne fallait vraiment pas rester là, il ne devait en aucun cas rester là, tout deux devaient partir, ou au moins changez d’étage. Mais apparemment Wilhemina n’avait pas l’air du même avis. Elle n’allait pas bouger et le pire c’est qu’Albus sentait qu’un coup tordu allait encore leur tomber dessus. Ils allaient encore une fois se retrouvez tous les deux dans la bouse de Dragon, mais Hemi ne devait pas sentir la tension de la pièce. Ou peut être étais-ce Albus lui-même qui se faisait des films? Très probable. Mais la première option l’était tout autant. Le fait est que les salles désaffectées ne portaient pas leur nom pour rien, et si par malheur un sortilège avait été lancer dans cette pièce et qu’il n’y avait pas moyen de l’enlever Hemi et lui serait coincés là. Mais était-il sûr que son instinct soit fiable?

« Je ne vois pas pourquoi on pourrait pas resté… Si il est aussi détremper que tu le dit il ne vas pas traîner longtemps dans les couloirs froid et humide de cette école, il vas aller vite se sécher en enfiler des vêtement sec. Nous avons tout notre temps. Enfin j’avoue, que tu me déçois un peu Albus je te croyais plus diabolique que ça… seulement de l’eau, c’est un peu de l’amateurisme. Si tu veux que ça marche et qu’il y réfléchisse a deux fois avant de s’en prendre à toi il faut y aller doucement et méthodiquement. Je suppose que tu te rappel de cette septième année de l’an dernier qui était venu me chercher des poux, une certaine Emily. Je présumer aussi que tu te rappel ce qui lui est arrivé. Au cas ou je vais te le rappeler, elle a fini couverte de pustules partout, absolument partout. La mystérieuse infection à durer deux mois avant qu’elle ne se rende compte que sa crème hydratante avait une curieuse odeur… Mais qui donc avait bien pus mettre une potion de furonclose dans ses produits de beauté parfumée ? On se le demande toujours… »

Albus ne parlait pas du concierge, mais de cette étrange impression oppressante qui le rendait nerveux. Wilhemina trouvait qu’Albus était décevant? Franchement ça n’était pas la première, et surtout pas la dernière. Elle s’était rapprocher de lui en prononçant la dernière phrase. C’était une blague! Tout le monde savait que c’était elle. Tout Poudlard était au courant, de plus elle avait eut des raisons pour le faire. Mais personne n’avait pris la peine de la dénoncer. Albus faisait partit des gens à qui cette histoire ne les avait pas toucher le moins du monde. C’était diabolique, et méchant aussi. Le jeune Potter voulait se venger certes, mais tomber de l’autre coté de la barrière n’était franchement pas son intérêt principal. Loin de là cette idée. Le chat de la jeune Serpentarde entra. Il prit la peine de cracher sur Albus avant de se diriger vers sa maitresse. Le brun ne prit même pas la peine de répondre à la Serpentarde, il était déjà trop tendu. La porte se referma d’un coup sec. Personne ne l’avait actionner pourtant un déclic sonore retentit dans la salle. Albus se figea avant de se diriger vers la porte et d’actionner la poignée. Elle ne bougeait pas. Le gryffondor sortit sa baguette pour déverrouiller la porte avec l’aide de tout les sorts possible et inimaginable mais rien n’y fit. Ils étaient coincés. A part si quelqu’un actionnait la porte de l’extérieur ils ne pouvaient sortir. Chouette! Encore une sale histoire sur les bras.

« Je sentais bien qu’un sal coup aller encore une fois nous tomber dessus. »

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« Je sentais bien qu’un sal coup aller encore une fois nous tomber dessus. »

Faisant l'impasse sur ce qu'il pensait de mes méthodes, qui étaient toujours justifiée. Il n'avait aucune idée de ce que cette fille m'avait fait, enfin je n'était pas là pour débattre de mon degré de moralité.
Quand la porte s'était refermer derrière Epsilon, dans un claquement sinistre et que je vis Potter s'échiner a la rouvrir sans succès mon cœur loupa un battement. Enfermer.
Je posait mon matou avec empressement et délicatesse sur la table, puis je poussait Albus.

" Il doit bien y avoir un moyen de l'ouvrir cette fichue porte!"

Après avoir essayer tout les sort que je connaissait, et même ceux que je n'étais pas sensée connaître il fallait bien le réaliser, elle ne s'ouvrirait pas.
Ne pas cédé à la panique.
j'attrapais, un parchemin et ma plume gribouillais quelques mots et glissait le message autour du collier de mon chat. La fenêtre avait un carreau casser, je regardait vite fait le bord, il y avait une petite cornique, très étroite.
j'attrapais je félin, et le mettais dehors sur le rebord.

" Vas dans la grande salle "

Epsilon me regarda l'air fatiguer, puis s'en fut en marchant avec précaution. Puis je portais mon attention sur Potter.

"Non je ne suis pas folle, et oui si t'as une meilleur idée je veux bien l'entendre."

« Je sentais bien qu’un sale coup aller encore une fois nous tomber dessus. »

C’était pour le moins évident: Wilhemina + Albus = Sale coup. Sa ne plaisait pourtant pas à Albus, lui qui aimait bien les plan foireux ne sentait vraiment pas celui-là bien, quelque chose clochait, cette situation n’était pas normale. En plus la compagnie d’Hemi ne serait pas de tout repos, ils s’entendaient, s’était tout, ensuite le bien ou le mal n’était pas encore spécialement définit. Ils se respectaient, du moins ils étaient censé se respecter. La Serpentarde bouscula Albus. Celui-là ne s’emporta pas, si elle voulait jouer au plus impressionnante et plus forte que lui c’était son problème, il ne voulait pas d’ennuies avec elle car au fond elle n’était pas si énervante que ça.

« Il doit bien y avoir un moyen de l'ouvrir cette fichue porte! »

Elle s’acharna sur la poignée, Albus avait déjà essayer, pourtant elle n’avait pas confiance et réessayait. C’était ça les Serpentards, ne pas faire confiance pour ne pas être déçut. Triste, pathétique. Mais pas tout à fait idiot. C’était compréhensible après tout. Quand elle eut finit elle prit un parchemin et l’attacha au collier de son chat après avoir griffonner quelques mots rapidement. Elle fit passer son chat par la fenêtre.

« Vas dans la grande salle »

Ce n’était pas une si mauvaise idée que ça mais étant donner que son chat ne se laisser approcher par personne à part par Wilhemina cette méthode le laissait légèrement voir carrément Septique.

« Non je ne suis pas folle, et oui si t'as une meilleur idée je veux bien l'entendre. »

Albus eut tout de suite un sourire moqueur, elle s’emportait ou bien c’était normal chez elle d’être aussi désagréable? Il s’assit par terre contre le mur tout en fixant Hemi.

« Loin de moi cette idée.. »

Puis il fut quand même obliger de rajouter avec un sourire goguenard.

« Mais vu que ton chat ne se laisse pas approcher, cette idée me laisse.. Septique. »

Il eut un léger rire nerveux. C’était idiot. Mais hilarant. Un bruit se fit entendre, un craquement sinistre, une ombre se déplaça dans un coin bondé de chaise et de table. Qu’Était-ce?… Un doute l'effleura..

**Invité** Invité

Être pris au piège, je détestais ça, ça me mettait d'une humeur de chien. Parti la jeune fille polie et un peu moqueuse, et bienvenue a la sale gamine acariâtre.
Enfin tout dépendait de comment, j'étais prise au piège, mais là s'était un cas désespéré. Seule avec Albus, dans une vielle salle de cour insalubre et loin de tout... Mon cœur commençait a s'emballer dans ma poitrine, mais je m'efforçais de le freiner.
Je n'avais rien contre Potter, mais je sentais qu'il pouvait être tout aussi imprévisible que moi ce qui n'était pas peut dire.

Cependant, il avait raison... Epsilon n'étant pas du genre câlin avec n'importe qui je doute qu'il se laisse approcher pour qu'on décroche le joli papier qui trônais sur son collier. Enfin un petite bout de parchemin crème sur un chat couleur fauve foncer ça se voit de loin....
Je regardais une dernière fois par la fenêtre espérant que pour une fois mon idiot de chat comprenne la situation et laisse plus docilement approcher.

"Mais vu que ton chat ne se laisse pas approcher, cette idée me laisse.. Septique."

Albus eut un petit rire nerveux, et il avait raison cette situation avait tout d'une comédie.
Mais j'eu un mauvais pré-sentiment, puis un bruit retenti.
Je rentrais dans la salle, la baguette dans le main. Un tas de chaise et de tables a moitié en loque bougeait.
Il ne fallait pas que la comédie se transforme en tragédie.

Mais vu que ton chat ne se laisse pas approcher, cette idée me laisse.. Septique.

Especto Patronum.

Saleté de Moremplis! Qu’Est-ce qu’ils foutent là eux d’abord! C’est censé être Tropicale et Nocturne ces bêtes de malheurs!

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