Je venais d'arriver dans le parc question de me détendre un peu et de lire. Je m'assis donc au pied d'un arbre, les écouteurs dans les oreilles je pouvais entendre la si jolie musique que produisait mon lecteur mp3. Je remonta ma capuche sur ma tête pour me faire un peu plus d'ombre et ainsi pouvoir lire plus tranquillement. Je songea à mon frère et ma soeur quelque instant et eu la larme à l'oeil à cette pensée. J'adorais mon frère et ma soeur, mais lorsque mes parents m'ont envoyé dans le pensionnat il ne leur permettais pas de me parler ni rien. Au début ma soeur m'envoyait des lettre, puis elles ont cessé sans que je sache pour quel raison cela a pu arrivé.
Les pages de mon livre commencèrent a être trempé par mes larmes qui ne finnissait plus de tomber. Quand pourais-je enfin les revoir ? Est-ce que cela arrivera où les reverrais-je jamais ? J'espèrais tellement pouvoir les revoirs et pouvoir leurs dire que je les aiment, les serrer dans mes bras. Oui, j'ai besoin de cet amour familial qui m'a tant manqué dans ma jeunesse.
Je leva la tête vers le ciel et remarqua le ciel qui se couvrait violament. Bien vite il commença a pleuvoir fortement sur ma tête. Je n'avais pas pensé à apporté de parapluie et je commença bien vite à être trempé. Je tempêta contre moi même pour ne pas y avoir pensée. Je pris mon livre et le mit sur ma tête, ce qui n'empêcha pas grand chose, mais ça me couvrait au moins un peu, ça et mon capuchon.
Bien vite je fus transis et parcouru d'énorme frisson et je ne bougea pas. Pour une raison que je ne connaissais pas, tout mon âme me sommait de partir me mettre à l'abris, mais je ne bougeait pas.
Peu de temps plus tard, un jeune homme arriva à ma hauteur et me demanda si j'avais besoin d'aide. Je tenta de me faire comprendre, malgré la pluie et mes dents qui claquait.

- J'ai fr...fr...roid. C'est....tout...

Lorsque je lui intima que j'étais morte de froid le jeune homme me tendis un jolie chandail. Je reconnu tout de suite les couleurs qui vennait d'une des plus grande équipe de quidditch. Il sera surement trop grand, mais je n'en fit pas grand cas et l'enfilait par dessus mes vêtements. Une vague de chaleur me parcouru et cela me fit le plus grand bien et m'arracha du coup un petit sourire. Mes dents cessèrent de claquer lorsque mon corps se réchauffa graçe au chandail qu'il m'avait preté. Il me prit mon livre des mains et le mit dans le même sac où il avait sorti son chandail. Quelle belle intention. Après tout ce livre était si précieux pour moi, ce serait donc dommage qu'il soit brisé. Qu'était ce livre ? Un livre qui me venait de ma grande soeur, vous savez : Solange. Je l'adorais et c'était mon dernier souvenir d'elle. J'avais aussi un souvenir de mon frère également, un beau collier, une mince chaîne argenté qui pendant à mon cou. Elle ne m'a jamais quité, même lors de mes bains.
On marcha pendant un moment, moi et le jeune homme vers un endroit que je n'identifia pas tout de suite. C'était bien probable, car je ne connais pas le territoire de l'école très bien, même après six ans. Le vents fouettaient mes cheveux qui se plaquaient constament sur mon visage. On arriva bientôt vers ce qui semblait être ce que le jeune cherchait, un espèce de toit suspendu. Pendant tout ce trajet il m'avait tennu le bras et a vrai dire je vennais à peine de le remaquer ce qui fit monter le feu à mes joues.
Il me fit signe de le suivre, toujours en me tenant le bras, donc je le fis sans hésité, empressé de pouvoir être au sec.
Il me jeta un regard lorsque nous fûmes à l'abris et me lacha le bras. Aussitôt je tenta de replacé mes cheveux bien que c'était inutile. Tout en accomplissant cette tâche aussi inutile soit-elle j'entendis sa voix. Il venait tout juste de se présenté. Je lacha mes cheveux, et je le regarda dans les yeux et lui répondit :

- Je m'appelle Jamie. Pas très original comme prénom tu trouve pas.

Bien sûr j'essayais de faire la conversation, puisque je savais que l'on était pris ici pour un bon moment. Pas que ça me déplaisait, non, loins de là.

J'observais Jacob pendant un moment, un peu gêné du malaise soudain qui s'emprennait de nous deux. Il semblait aussi mal à l'aise que moi, sinon plus. Je décida de coupé ce silence en me présentant. Je réalisa qu'il me souriait tout juste après. Ça le rendit que plus attachant de le voir ainsi, souriant. Je ne pus résisté à lui sourire à mon tour. Il commenca par me dire que mon nom était loin d'être banal, qu'il était même très jolie.

- Merci.

Ensuite plus rien ne se dit, je crois qu'il était peut-être perdu dans ses pensée. Ou peut-être était-il gêné ? Devrais-je dire quelque chose de nouveau ? Alors que je me posais ces questions sa voix retentit de nouveau pour me demandé ce que je faisais au parc. Cette petite question me fit bien rire puisque je crois qu'il devait bien ce douter de ma venue ici.

- Il est vrai que je venais lire, comme tu t'en doute probablement, mais ce livre est précieux pour moi. D'ailleurs je suis touché que tu ais quand même tenue à le protégé. Il appartient à ma grande soeur et c'est le dernier souvenir qu'il me reste d'elle. Elle n'est pas morte, non loin de là, mais j'ai été séparé de mon frère et ma soeur lorsque j'étais très jeune. Mon frère lui ma donné ça.

Je porta ma main à mon cou, touchant une fine chainette argenté qui y était suspendu.

J'étais contente d'avoir pu raconté à quelqu'un enfin un peu de mon passé. Peu de gens savait des choses sur moi, on me parlait si peu en fait. Peut-être était-je repoussante et c'était ce qui faisait que personne ne me parlait ? Est-ce possible ? Enfin...je ne devrais pas pensé à ce genre de chose où je vais me mettre à déprimer et ce n'est pas vraiment le temps, ni le moment.
En ce moment j'étais avec Jacob et l'on discutait, pas facilement, mais on discutait. La gêne faisait que ça rendait la chose plus difficile que ce l'est en réalité. Il me répondit qu'il était désolé de ce qui m'était arrivé et sembla sincère, ou presque.
Pendant un moment il se perdit dans ses pensées, un peu comme moi un peu plus tôt ce qui lui donna un air grave. Je ne savais pas à ce qu'il pensait, mais ça n'avait pas l'air joyeux. Je posa donc le bras sur son épaule et lui dit :

- Ça va ?

Tout à coup je remarqua que la pluie avait cessé et que le soleil y avait fait place. Super, c'est beaucoup mieux ainsi, puis comme en réponse à mes pensée Jacob me dit que l'on pourrait sortir d'ici.

- Bien sûr !

Cela dit je me souvenait toujours de l'air grave que j'avais perçu plus tôt et je ne lacha pas le morceaux. Je lui redemanda donc de nouveau.

- Tu es sur que ça va ?